vendredi 21 décembre 2007

Aimer ce qu'on fait

Comme il est difficile de se faire payer pour faire ce qu'on aime. On peut faire le choix d'aimer ce qu'on fait.

Pour ça, il faut avoir choisi un métier et un domaine qui ne soient pas trop loin de nos goûts et de nos compétences.
Suis-je en train de vous dire qu'il faut faire ce que l'on aime ? Presque.

Disons que j'ai choisi un métier et un environnement de travail qui me conviennent. La démarche qui permet d'aimer ce que je fais consiste à :

1. Faire les choses comme je l'entends, le plus possible. Dans mon cas, les faire bien.

2. Pouvoir s'organiser dans son travail.

3. Ne pas se laisser démotiver et/ou énerver par les détails. (ex: il fait froid dans le bureau, il fait trop chaud dans le bureau, la secrétaire parle toute seule devant son ordi,...)

4. Être force de proposition pour avancer sur les sujets qui m'intéressent. Ça montre mon implication dans l'équipe et ça m'assure de travailler de plus en plus sur des sujets motivants.

Et vous, vous y croyez ?

Gabriel

Le boulot

Paradoxe ou devinette :
Quand on en a pas on en cherche,
quand on en a, ça nous saoule parfois.

La réponse est en titre, alors le suspense est limité.

Le paradoxe n'est pas très difficile à résoudre :
- quand on n'a pas de boulot (et pas de revenus), on dit qu'on cherche du boulot alors qu'on cherche un salaire.
- quand on a un boulot (et donc des revenus), on aimerait bien pouvoir faire autrechose de ses journées que d'aller au bureau.

Solution 1.
Se faire payer pour faire quelque chose que l'on aime.

Limites
1.
Vais-je encore aimer ce que je fais avec plaisir quelques heures par semaine, si je dois le faire 8 heures par jour ?
(réponse sur les mathématiques en classes prépas : non)
2.
Le premier plaisir dans certaines activités, c'est celui de choisir de le faire, et de le faire de la manière qui nous plait. Le faire dans un contexte d'entreprise ou avec le besoin de dégager un certain revenu peut tout changer.
(j'aime prendre soin de mes plantes vertes, mais
- je n'ai pas envie de le faire pour un employeur de 8h à 18h tous les jours et/ou
- je n'ai pas envie de devoir trouver assez de clients pour gagner de quoi vivre de l'entretien de plantes vertes)
3.
Ce qui nous plait, on le fait souvent pour les gens qu'on aime, alors les faire payer...
(Noémi choisit des fringues pour ses soeurs et amies)

Solution 2.
Aimer ce que l'on fait ?

La vie à Paris

Depuis quatre mois, je suis rentré à Paris.

de retour d'Australie, ce qui m'a le plus marqué :

Point 1.
Les parisiens font la gueule dans le métro. Ils ont raison, c'est déprimant le métro.

Point 2.
Les parisiens font la gueule sur la route. Bertrand D. a beau nous dire de prendre les transports en commun, le point 1. nous amène à choisir d'autres formes de transport, comme les voitures et les deux-roues.
Les capacités des routes parisiennes font que les "heureux" possesseurs de voitures passent beaucoup de temps bloqués derrières les feux ou au milieu des carrefours. Résultat, les conducteurs parisiens sont énervés et aggressifs. Même d'anciens provinciaux calmes deviennent aggressifs en quelques mois de conduite à Paris.

Point 3.
Les parisiens ne font pas de sport. Ils sont "inscrits" au clug med gym pour les "moyens riches". Ils sont sur les listes du racing, pour les "très riches".
Dans les deux cas, ils n'ont pas le temps d'y aller.

Point 4.
Les parisiens quittent Paris autant qu'ils peuvent quand ils en ont les moyens. Ca leur donne l'occasion de démarrer la semaine par 2 à 3 heures d'embouteillages le dimanche soir. Ils vite remis dans le bain. Cf Point 2.
Ceux qui prennent le train ont la joie de retrouver le métro le dimanche soir. Cf. Point 1.

Point 5.
Les parisiens "sont débordés". Ils travaillent beaucoup et tard le soir. Certains ont la chance de travailler moins longtemps. Dans ce cas, ils compensent en habitant à 1h30 de leur lieu de travail, ce qui leur permet d'arriver tard chez eux, et d'être "débordés" quand même.

Point 6.
Les parisiens ne sont pas parisiens. Les parisiens, c'est les autres.

Point 6 bis.
Dans mon cas, c'est vrai, je viens d'Orléans :)
Dans le cas de Vincent, c'est vrai, il rentre de Tokyo;
Dans le cas d'Edouard, c'est vrai, il est immatriculé à Perros Guirec;
etc.

Point 7.
Les parisiens dépensent trop pour déjeuner.
C'est ça ou la cantine !
Sinon, le sandwich, c'est autour de 4 euros. C'est déjà trop !

Point 8.
Les parisiens adorent Paris et ne voudraient vivre nulle part ailleurs.
Sauf ceux qui détestent et qui voudraient vivre n'importe où ailleurs !
Et ceux qui ont acheté à Meudon, pour qui c'est la meilleure ville possible.

Point 8 bis.
Les parisiens vivent à Paris parce qu'il y a des musées, des expos, des théâtres.
Les parisiens n'ont pas le temps d'aller au musée, aux expos, au théâtre...

Point 9.
Thomas Dutronc n'aime plus Paris et moi non plus.
Quand est-ce qu'on va s'installer à Londres ?

Les conducteurs sympas

J'ai bien envie de créer un nouveau groupe / club.

Les "conducteurs sympas" :
- je ne brûle pas les feux
- je respecte les priorités
- je mets mon clignotant avant de tourner ou de déboiter
- je vérifie s'il n'y a pas une moto qui me double avant de tourner à gauche (surtout si j'ai oublié de mettre mon clignotant)
- je laisse passer les piétons qui traversent "dans les clous"

Les "scooters et motos sympas" ont quelques règles de plus :
- je ne prends pas les voies de bus dans le mauvais sens
- je ne roule pas sur les pistes cyclables
- je double par la gauche autant que possible
- je ne me faufile pas entre un camion et un bus (question de survie...)

On pourrait comme ça avoir un autocolant "smiley" et sympa pour communiquer sur notre choix de conduire différemment.

Ce qu'on peut ajouter en cas d'embouteillages :
- je ne bloque pas le carrefour

J'ajoute qu'on peut aussi être un "piéton sympa" :
- je traverse sur les passages piétons
- je ne traverse pas quand le bonhomme est rouge
- je ne traverse pas au milieu des voitures sous prétexte qu'il y a un bouchon

Les camions/taxis sympas:
- je m'arrête pas (sans prévenir) au milieu de la voie
- si je dois m'arrêter au milieu de la voie, je ne me mets pas au même endroit que l'autre camion, arrêté lui aussi au milieu de la deuxième voie... (spéciale dédicasse au camion de La Poste rue de vaugirard, hier...)

J'attends vos autres propositions pour la charte des gens sympas dans la rue !

Gabriel

jeudi 6 décembre 2007

13 membres dans mon groupe facebook !

Mon groupe Facebook démarre en trombe avec 4 membres dès le premier soir (nommés Membres d'honneur) et 13 le lendemain (nommés First Level Officers). J'attends maintenant les premiers post, photos et vidéos pour que mon groupe prenne vie.

Aujourd'hui, avec la pluie, j'en ai eu pour mon argent et plein les yeux: carrefour bloqué, accident sous les fenêtres de mon bureau Boulevard des Italiens, feux brûlés...

J'ai aussi mis à jour mon Mac, maintenant j'ai le correcteur d'orthographe dans tous les champs internet que je remplis...pas mal.

Pour un partage de la chaussée et des Parisiens courtois,

Gabriel

mercredi 5 décembre 2007

Groupe Facebook

C'est décidé, je crée un groupe sur Facebook pour décrire les chauffards à Paris.
Et dans six mois je lance une grande campagne avec la prévention routière !

Premier slogan:
Mettez votre clignotant, sauvez un pinguoin !

Un pinguoin, ça peut être quelqu'un comme moi : habillé en costume pour faire du scooter... mais aussi tous les autres motards, scooters, vélos et piétons parfois !

A très bientôt !