mercredi 31 décembre 2008

"Si vous n'aviez plus jamais à travailler pour de l'argent, que feriez vous ?"

C'est la question que pose ce mois-ci "A la croisée des blogs".

Depuis quelques mois, je vis comme si je n'avais plus à travailler pour de l'argent.

Pendant les 5 dernières années, j'ai travaillé dans 7 entreprises et pour presque 7 métiers différents après mon diplôme d'ingénieur en 2003.

Dans chacun de ces métiers, il fallait respecter:
- les horaires minimums en dessous desquels la réflexion préférée est : "Tu prends ton après-midi ?"
- les consignes parfois absurdes de la hiérarchie...

A chaque fois qu'ils sont allés trop loin, j'ai préféré arrêter. A chaque fois, j'ai retrouvé un autre poste, en espérant que ce serait "différent"

Depuis le mois de septembre, je construis ce qui pourra être ma vie en dehors de la contrainte du salaire... ou plutôt, sans la contrainte du bureau.

En effet, la question à se poser n'est pas de ne "plus jamais travailler pour de l'argent" mais plutôt "Comment faire ce que l'on souhaite tout en ayant assez d'argent pour vivre?"

A la question "Si vous n'aviez plus jamais à travailler pour de l'argent, que feriez-vous?" les réponses sont nombreuses. C'est un peu la question du déjeuner à la cantine avec les collègues: "Que ferais-tu si tu gagnais au loto?". Les uns envoient promener le boss, les autres démissionnent. La plupart décrivent la voiture dont ils rêvent et les vacances qu'ils prévoient. Ensuite, ils partent voyager, ils montent un gite dans la région qu'ils aiment ou un centre équestre...

Ce qui est dommage avec cette question, c'est qu'elle ne conduit pas à l'action. Au contraire. A la fin de la pause déjeuner, les rêves se dégonflent et chacun retourne à son poste de travail.

Au contraire, "Comment faire ce que l'on souhaite tout en ayant assez d'argent pour vivre?" c'est la question à laquelle tentent de répondre les Tim Ferriss ou Michael d'Esprit Riche.
En effet, la nouvelle génération ne veut plus se voir prisonnière d'un bureau, de contraintes horaires et d'ordres imbéciles.

Ceux-là n'attendent pas que le gros lot leur tombe sur la tête pour changer leur manière de penser et d'agir. Ils nous invitent à nous réveiller et à nous poser la question qui enchante nos journées :

Que faisons-nous pour ne plus avoir à travailler pour de l'argent ?

mardi 23 décembre 2008

Je deviens entrepreneur

Bonjour,

J'ai une excellente nouvelle : je construis mon activité de Coach !

Je ne suis donc plus bloqué dans un bureau pour lire mes mails, gérer les urgences, appeler les clients... puis attendre la pause déj et ne pas avoir envie de remonter travailler à 14h.

A la place, je vais aux Salons de la Micro-entreprise et des services à la personne. Je participe aux ateliers du CCIP. Je suis inscrit à l'agence ANPE Creapass pour les créateurs d'entreprises. Ils m'envoient dans une boutique de gestion pour construire mon business plan !

Je vous donne rendez-vous sur mon blog dédié à une partie de mon offre de coaching: coachingclassesprepas.blogspot.com et je vous en prie, si vous êtes en classes prépas ou si vos enfants sont en classes prépas, faites-moi signe et aidez-moi à construire mon offre !

Gabriel

mardi 10 juin 2008

Le boulot c'est pas beau

Il faut reconnaitre que le boulot, c'est pas beau. Je suis sur un nouveau concept, dévelopé par Tim Ferriss sur fourhourworkweek.com, qui consiste à trouver un moyen de développer de nouvelles sources de revenu, de l'automatiser et d'y consacrer seulement quelques heures par semaine.

On est loin du concept d'entrepreneur débordé qui ne peut plus "décrocher" le temps d'un week-end, qui ne peut plus voir sa famille ou prendre de vacances. Surprise: ça me convient beaucoup mieux.

J'applique déjà quelques unes de ses propositions :
- gérer mes mails en mode "batch", c'est à dire à heure fixe dans la journée, plutôt que "tout le temps".

- fixer des délais courts pour effectuer les taches qui nous sont confiées: ça permet d'aller à l'essentiel.

- utiliser un Personal Assistant pour tout ce que l'on peut ne pas faire soi-même: j'ai déposé mes chemises à repasser ce matin et je pense faire bientôt appel à une femme de ménage.

Et ma vie au bureau s'améliore :)
J'espère que la vôtre aussi. Sinon, il vous reste le site jemefaischierautaf.com

Best regards ;)

Gabriel

Compteur

Bonjour,

J'ajoute ce message pour mettre un compteur sur ce blog et voir si vous venez le lire !
Soyez nombreux ;)

Gabriel


vendredi 8 février 2008

vendredi

Bonjour,

L'énergie positive que l'on met dans son job et dans sa vie est "aussi" un choix.

Un choix parfois difficile à faire, quand tout nous submerge.

C'est quand même notre choix, de voir le bon côté des choses, de refuser de se laisser bouffer par les contrariétés.

Quand l'environnement est "hostile", ça peut demander beaucoup d'énergie, voire de courage. Quelquefois, la seule solution acceptable est de s'extraire de ce milieu "hostile". Quand on ne peut pas partir "physiquement", il est peut-être possible de s'en extraire par la pensée, par l'attitude, par un peu de musique dans les oreilles... ?

Le choix principal est peut-être celui qui consiste à rester "acteur" de ce qui nous arrive. Si vous n'êtes pas content, est-ce que vous faites ce qu'il faut pour que ça change? Si rien ne change, est-ce que vous êtes à la recherche d'une solution de sortie ?

Etre en éveil, être en recherche, c'est déjà une manière de garder la main sur ce qui nous arrive.

Pas évident, cependant, de trouver des solutions après des journées de travail parfois longues et laborieuses... Garder espoir, garder ses objectifs principaux en tête, c'est le seul moyen de s'en sortir.

Il faut aussi parfois se faire aider. Par des amis, par des professionnels,... Il faut aussi savoir fuir les situations qui sont trop pénibles. Gràce à une pause au moment opportun, en allant déjeuner avec des amis, en allant à la piscine pour se relaxer, en évitant un déjeuner avec les collègues le jour où on a besoin de prendre l'air ?

Une chose est sure, il faut parfois savoir partir quand le moment est le bon !

bonsoir...

mercredi 6 février 2008

Piscine

La piscine entre midi et deux, c'est un bon moyen de décrocher du stress de la journée, pour quelques heures.

Par contre, la fatigue qui va avec peut rendre l'après-midi un peu difficile. C'est le cas aujourd'hui. Je me contenterais volontiers d'une sieste.

mercredi 16 janvier 2008

Laisser ses soucis derrière soi

Je me laisse facilement submerger par des sentiments négatifs à la suite de journées de boulot pas forcément passionnantes, ou tout simplement trop longues.

La fatigue de la fin de la journée fait que j'ai du mal à passer une bonne soirée après avoir "ruminé" toute la journée ou une partie de la journée.

Pourtant, la vie ne se résume pas aux moments difficiles de la journée de travail. Au contraire, un bon déj, une soirée sympa, etc... c'est bien plus important !

Journée de travail & Happiness

Penser sa vie dans son ensemble. Ne pas se contenter de voir les aspects difficiles de la journée ? Voir les aspects positifs. Voir l'équilibre qui se fait entre les moments difficiles et les moments sympas ?

Est-ce que je me souviens mieux des moments difficiles parce que les bons moments, je les considère comme "normaux" ? Peut-être que la nouvelle manière de penser consiste à célébrer et fêter les petites joies du quotidien, tout en passant à la trappe les frustations et énervements.

Certains détails nous pourrissent la vie si on leur accorde trop d'importance. Et si on attachait de l'importance à ce qui est sympa ?

mardi 15 janvier 2008

Le poids de détails

Dans mon message du mois de décembre, je disais qu'il ne faut pas se laisser démotiver par les détails.

C'est de plus en plus difficile.

lundi 14 janvier 2008

Confiance en soi et responsabilités

Il est temps de prendre des responsabilités.

La modestie - ou le manque de confiance en soi ? - amènent à ne pas savoir aller vers ce qu'on est capable de faire.

Pouvoir prendre une décision. Aimer l'excellence. Accepter ses compétences et ses qualités.

La peur et le stress font que l'on cherche quelque chose en dessous de ce que l'on sait faire.

Pour les femmes, des études ont montré qu'elles s'interdisent parfois de réussir.

L'impression que j'ai aujourd'hui, c'est que ça fait trop longtemps que j'ai perdu confiance en moi. Je me sous-estime. Je choisis de postuler pour des fonctions qui ne me conviennent pas. J'ai souvent peur de ne pas y arriver, de ne pas être à la hauteur.

En fait, la principale difficulté que je rencontre en entreprise, c'est mon incapacité à m'adapter à l'inexactitude, le flou, le temps nécessaire à la moindre prise de décision, puis à la moindre action.

J'ai envie d'aller plus vite, plus loin et plus fort. Mais pas comme certains le proposent aujourd'hui dans le monde politique. Mon objectif à moi, c'est travailler moins pour gagner plus.

Travaillons moins, organisons-nous mieux dans nos tâches et dans nos vies, et vivons mieux !

Pour travailler moins, aujourd'hui, l'option que je vois, c'est de prendre plus de responsabilités, d'avancer plus vite, de faire bouger les choses.

Faire du sur-place, travailler plus d'heures, pour gagner autant (puisque les cadres travaillent au forfait "jour"), attendre, puis attendre encore, ne me semble pas être la bonne démarche.

Gesticuler dans tous les sens, non plus.

Soyons plus intelligents. Soyons plus efficaces.